Un détective privé débarque Santa Barbara, Californie,pour reprendre une enquête concernant un double meurtre commis quinze ans plus tôt. Très vite, il se heurte un couple de puissants notables qui tenteront par tous les moyens de lui mettre les bâtons dans les roues. Meurtres, chantage, double-jeu et trahisons vont s'enchaîner sans répit pendant cinq nuits, avant que l'intrigue ne trouve sa conclusion.
Multipliant les clins d'oeil, La dernière vengeance reprend les thèmes et les personnages fêtiches du film noir américain des années 50 en s'amusant avec les codes du genre, entre hommage et parodie.
C'est la troisième pièce de Patrick Filleul après On allait au bord de la mer, et Souffler sur les cendrescréées à Limoges en 2006 et 2010.
Les trois textes sont disponibles à la vente sur le site: www.edilivre.com
Revue de Presse
Bande-annonce
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Avec : Eliane Jarry, Colette Teillout, Laure Vigouroux, Francine Xavier, Jean Sébastien Adam, Eric Champigny, Aymeric Desport, Laurent Duffaux, Roland Herpin-Giret, Michel Le Page
Adaptation et mise en scène : Jean-Claude Desport
Costumes, décors : Roger Normand, Simone Desport, Béatrice Herpin-Giret, théâtre de l’ECALE
Affiche et photos : Lise Desport, Guy Bayles
Quand on rencontre des personnages comme Simon La Roulette ou Canciano Delatruffe, on s’en souvient, car ce sont des rustres, des vrais. Ils n’hésitent pas à aller jusqu’à l’injure, mais ils gardent les pieds sur terre et savent bien où sont leurs intérêts. De grosse rigolade en situations de conflits, le spectacle tourne à un rythme d’enfer.
Texte et mise en scène : Patrick Filleul Lumières et bande son : Franck Roncière avec : Karine Boyer, Antony Fons, Thierry Lecaillon, Nikki Peynichou, Franck Renon, Sandrine Villacampa
Enfants, ils s'adoraient. A vingt ans, ils croyaient encore que rien ne pourrait les séparer.
Aujourd'hui, la quarantaine venue, ils se retrouvent après des années de séparation, mais les retrouvailles virent au règlement de compte. La présence bienveillante d'une amie plus âgée, fragilisée par la maladie, sera-t-elle suffisante pour apaiser les tensions et effacer les ardoises ?
"Souffler sur les cendres" a obtenu la Tour d'Argent à Festhéâ, Festival National de Théâtre amateur (Tours)
Partition chorale pour six comédiens, la pièce navigue entre deux époques, deux atmosphères : tension et amertume règnent sur un présent conflictuel, tandis que gaîté et joie de vivre illuminent les souvenirs de jeunesse, époque révolue où tout semblait possible.Souffler sur les cendres est la deuxième pièce de Patrick Filleul après On allait au bord de la mer, créée à Limoges en 2006
Avec : Eric Champigny (le Malade), Geneviève Charles (Dr Diafoirus mère), Yann Dano (Cléante), Laurent Duffau (Béralde, frère du Malade), Eliane Jarry (Béline, femme du Malade), Michel Le Page (le notaire et Thomas Diafoirus), Laure Vigouroux (Angélique), Colette Teillout (la petite Lison et le Dr Purgon), Francine Xavier (Toinette)
Costumes : Anne Prolongeau et Simone Desport
Décors : Roger Normand
Photos : Guy Bayles, Lise Desport
Affiches : Lise Desport, avec l’aide de David Ferrer
Aide technique : Xavier Delcambre
Adaptation et mise en scène : Jean-Claude Desport
Tout le monde pense qu’Argan, le Malade Imaginaire, n’est pas malade du tout, et qu’il s’agit d’un homme qui se complait dans les remèdes, les purges et la fréquentation des médecins. Sa principale préoccupation semble être sa précieuse petite personne, et il est prêt pour son plaisir personnel à sacrifier s’il le faut sa fille, en la mariant à l’infâme futur Docteur Thomas Diafoirus.
Avec : Jean Michel Arnaud, Esther Cailleton-Apfeldorfer, Philippe Delannette, Nikki Peynichou, Patrick Peynichou, Franck Renon, Sandrine Villacampa
Adaptation et Mise en scène : Patrick Filleul
Lumière et bande-son : Franck Roncière
Conception graphique : Régis Lagoeyte
Louis est à l’aube de sa mort. Après un très long silence ponctué de cartes postales, il a décidé : il retournera voir sa famille une dernière fois pour annoncer sa fin prochaine. Mais le retour inespéré du fils aîné dans la maison de la mère ranime d’anciennes querelles et de vieux fantômes.